La réflexion après cours 13

La réflexion après cours 13

 

Dans le cours 13, on a parlé de la rêve, de la subconscience, de pulsion, etc. À partir de tout ça, je me rappelle un peintre, René Magritte, un surréaliste très connu donc les sujets de dessiner sont souvent la rêve, le désir, l’inconscience…

Dans le 19ème siècle d’Europe, lorsque les œuvres d’art devenaient de plus en plus romantiques, il s’est produit une œuvre spéciale et différent. Elle a fait choquer des yeux des spectacles. C’est le 《La Trahison des images, 1928-29》.

Dans cette œuvre, nous pouvons voir une pipe, c’est simplement une pipe sans d’autre décor, mais ce qui est différent avec des autres œuvres d’art, c’est qu’il y a une phrase en dessous qui dit: 《Ceci n’est pas une pipe.》 C’est choquant. Le secret entre l’image et le phrase est comme un jeu fait par Magritte. Il montre aux spectacle ce qu’ils voient est la vraie réalité. Très intéressant, ce que nous avons vu est exactement une vrai pipe, mais Magritte nous a dit que c’est pas comme ce que vous voyez. Cela attire mon attention et ma curiosité. Pourquoi René Magritte a fait ça? Qu’est-ce que sa motivation pour créer cette oeuvre-là? Qui est-ce qu’il voulait montrer? Qui est-ce qu’il cache à l’arrière de cette oeuvre d’art?

Magritte a remarqué: Dans un tableau, les mots sont de la même substance que les images. Ici, je me remarque l’importance de la symbolique et le langage. Il s’agit un filet de relations et l’individu.( ici ce sont les spectateurs) Et, l’individu est définit et identifié par son contexte, sa sphère, sa culture, ses relations fondamentales avec les autres. Donc, la symbolique sont variétés. Mais on a toujours une symbolique générale, c’est-à-dire un sens commun. Ce sens commun est formé par la développements de la civilisation de l’humain. Parlant de cette tableau, quand on lie le mot pipe, il arrive toujours une image ou une forme d’une pipe en tête. Ça c’est l’énergie de la symbolique et du langage. Dans ce cas-ci, on peut aussi parler du signifiant et du signifié. Les deux sont intimement liés étroitement. Lorsqu’on lit un mot femme, on a une image d’une femme dans le cerveau. C’est très normal à cause des influences du sens commun, de la culture traditionnelle, etc. qu’on reçoit. Magritte a consacré à produire des objets normaux de la vie quotidienne dans un contexte inhabituel. Il a cherché toujours le pulsion de l’humain le plus naturel, sans se cacher.

Il a attaqué les pensées de cliché sans arrêt comme un révolutionnaire.

 

 

Entrée4:

La société du spectacle-L’intrigue des bourgeois

Après avoir eu le dernier cours et la lecture《La société du spectacle》.  J’ai fait des pensées liant avec ma vie quotidienne.

Après Karl Marx a proposé que le monde de bourgeois ait été plein des produits et des substances, Debord a dit que dans le monde bourgeois d’une époque post-industrielle dont de l’État, la rue d’une ville à la vie quotidienne de chaque gens, même l’aspiration et le désir sexuel sont tous remplis par la spectacle que le commerce a transmis. Donc chaque désir naturel et rêve de l’humain sont pollués par  un désir d’acheter certain produit commercial. Un marque de luxe, une bague Tiffany ou un très bon placard d’une propriété immobilière, tous dirigent un spectacle.

Sur l’application sociale, il y a de plus en plus de jeunes qui publient des photographies d’eux même ou de chers produits tous les jours justes pour avoir plus de fans, de commentaires admiratifs et puis satisfaire  leur vanité. Selon moi, ce phénomène est malade, mais  cette action devient encore populaire parmi les jeunes et ils se jouirent beaucoup.  Cependant, sans les luxes, les désirs de procéder, où la société va mener les humains?

Toutes les applications médiatiques utilisent un moyen visuel pour organiser l’esthétique et maîtriser les spectacles. Par exemple, le but d’une publicité est de laisser voir les gens et puis laisser le payer, ainsi que la valeur reste est capable de réaliser et occuper. Finalement, la classe bourgeoise rit.

Dans «Capital», Marx a analysé une opposition fondamentale entre les bourgeois et les prolétaires.  Et Debord a utilisé la relation entre le spectacle et le spectateur pour substituer cette analyse de Marx. J’ai une question en ce cas-là, la société spectacle est un moyen de contrôler les spectateurs et pour Debord, il est contre pour ça. Mais on voit la Corée du Nord, est-ce que son système social donne aux civils une vie substantielle, libre et réel? On voit que la Corée est fermée et leurs civils sont aussi dessus le contrôle du gouvernement.  Et alors, quel système social ou quelle forme sociale va donner à l’humain sa vie propre sans vanité ni de contrôle ? Comment on peut réparer notre société présente?

De plus, j’ai une autre supposition, lorsqu’on quitte la vie de la société du spectacle, est-ce que la plupart de gens seraient contents, satisfaits et heureux? Je crois que le monde est déjà empoisonné profondément par cette méthode de vivre. Sans la vanité, le désir de procéder des produits, comment est notre vrai visage?

Entrée 3: Fighter


Nous habitons dans de grandes maisons, nous bénéficions des produits techniques avancés, nous mangeons des aliments propres et délicieux, nous portons des vêtements élégants, etc. Tous les signes nous donnent une impression que nous vivons très heureusement aujourd’hui.  Mais ça, c’est vrai ? Est-ce qu’il y a certains éléments négatifs qui se cachent dans la société si moderne et magnifique?

«Fight Club  » est un film spécial anti-Hollywood par rapport au thème surréaliste. Il s’agit d’explorations  sur la valeur personnelle et  l’autoscopie. Le héros, Jack (ou peut-être Tyler) a un caractère bilatéral. Lorsque la société lui met plus de pressions, emporte sa dignité et son sentiment d’existence, Jack a imaginé un autre être, Tyler, qui est très brutal, fort, anti-société et confiant. J’ai vu des scènes sanglantes et violentes. Je crois que ces scènes veulent représenter une résistance contre la société. Plus précisément, c’est contre la société de consommation. Dans ce film, il  y a une ironie à laquelle les bourgeois vivent. Ce film me rend enthousiaste, car nous n’avons pas besoin de produit haut, de luxe. Ce que nous avons besoin, c’est l’évolution de l’être humain, le sentiment de la vraie peine et la volonté inflexible. Nous nous assoyons dans le sofa, regardons la télé et l’écran d’ordinateur et puis nous les laissons remplacer nos yeux et notre corps sentir le monde. Donc cela nous reste n’est que le vain. Aujourd’hui, lorsque des gens ont une réputation, de l’argent et le pouvoir, est-ce cela signifie qu’il est heureux, ou bien réussit? La société de consommation nous donne plus de vanité. Les gens sont toujours au travail et occupés, mais peut-être ils ne savent pas leur but de leur aspiration. Nous perdons dans la vague d’articles de consommation. Le non-être et la pression nous font devenir fous. Nous imaginons un autre être, et les deux ou plus caractères se battent.

Il y a une scène qui m’impressionne beaucoup : Jack est dans le bureau de son boss, il se bat pour menacer le boss. Enfin il obtient ce qu’il veut et quitte avec du sang au visage. Dans le fight club, les gens obtiennent la nouvelle énergie à la façon d’auto-flagellation. Cette façon fonctionne toujours pour la plupart de gens. Cela me fait réfléchir. La vie semble belle et complète, mais sans sa fausse surface, qu’est-ce qui se cache? Les désirs éternels, le cupide, l’hypocrisie ou la fragilité? Cela est peut-être apporté par la société de consommation. C’est un effet secondaire.

Je remercie à David Fincher, il me rappelle de m’arrêter un peu et d’y pense. « Fight Club » est un film très choquant.
De plus, à la fin du film, il passe un membre viril très vite. Peut-être c’est la plaisanterie du réalisateur pour les spectateurs, peut-être que c’est la provocation parlementaire pour la morale traditionnelle et les bourgeois traditionnels.

Finalement, il me reste une question, comment être un homme  riche en matériel et d’esprit? Comment les balancer?

Entrée 1 La réflexion du cours

Après avoir fait la lecture et assisté au cours de la semaine dernière, il y a quelques choses qui m’impressionnent beaucoup. Est-ce que la reproductibilité technique est positive ou passive pour l’art? Est-ce que l’aura doit disparaître? 

Pour ces  questions, je voudrais parler de mes points de vue. 

Avec le développement de la société civilisée, l’humain fait des progrès dans toutes les sortes de domaines: la politique, l’économie, la culture, la religion et la science et technologie, etc. L’utilisation de la machine amène l’humain à une nouvelle époque, une époque de la reproduction, les produits que nous utilisons dans la vie quotidienne, les médias de masse que nous voyons tous les jours sont pour la plupart le résultat de la reproductibilité technique. Mais est-ce que ce changement est bon pour l’art et pour notre vie civilisée?

Selon moi, il n’y pas de réponse très sûre. Chaque monnaie a ses deux côtés. Aujourd’hui, le rythme de notre vie est plus rapide, donc on a produit beaucoup de reproductions pour satisfaire la demande de l’homme. Pour l’art, ça arrive aussi. Mais est-ce que cette reproduction va détruire le vrai art? Tout d’abord, j’ai une question, c’est que l’art cible au public ou à l’individu? D’après moi, l’art est pour le public. Imaginez si une œuvre d’art n’était pas vue devant le public, elle irait se réaliser sa valeur d’art? Je ne crois pas. Donc, la reproduction est une bonne façon qui peut faire connaître, évaluer et réfléchir  le public. Cela aide aux artistes de transmettre et montrer leurs œuvres plus facilement et rapidement. De plus, cette façon promeut de nouveaux courants de l’art comme le dadaïsme, le 《pop art》,  le surréalisme et aussi de nouveaux types d’art, par exemple le film et la photographie qui sont vraiment populaires aujourd’hui. De ce côté, la reproduction est positive pour l’art. Cependant, l’aura de l’art disparait petit à petit au fur et à mesure que la reproduction devient populaire. C’est l’autre côté de la monnaie. L’aura, 《l’unique apparition d’un lointain, si proche soit-il》. L’aura peut garder l’authenticité de l’art. L’art est magnifique et fascinant à cause de son unité, son authenticité et son aura. Il ne peut pas être remplacé. Dans ce cas-là, malgré que la reproduction soit capable de rapprocher les gens avec l’art, elle a perdu l’aura en même temps. Ça c’est la part passive de la reproduction.

Enfin, je voudrais citer une phrase, 《la reproduction est un instinct, nous cherchons l’aura dans une époque où l’aura a disparu》. Mais il nous reste une question, comment faire une reproduction sans perde de la fascination dans une époque présente?

Référence: http://bbs.mosh.cn/612155.html